Faces of Insanity, troisième album du groupe russe Epitimia, est parsemé de concepts psychiatriques mais le plus important est, je pense, celui du test de Rorschach : ce qui compte, ce n'est pas la perception mais l'interprétation. Pour pousser à cet effort, Epitimia navigue volontairement entre deux eaux : la production, les guitares et le chant ont le tranchant du DSBM (Epitimia se rapproche de Psychonaut 4 sur la cinquième piste) mais les mélodies sont très riches, voire groovy. C'est fort ! Jordan Vauvert
I bought their other album, Spleen, months ago, and then just recently bought this one ... without even listening to it first. Thankfully Revenant is also amazing, serving as the perfect precursor to their more recent material. Tom's Reviews
De l'action de descendre sciemment vers le néant au constat simple, lancé dans un dernier soupir, comme si on était mis devant le fait accompli : There is no beauty left here...
Mais contre toute attente, ce chant du cygne d'Exiled from Light n'est pas une acceptation résignée de la mort. Mort (je parle de l'artiste) est animé de l'énergie du désespoir, cette énergie qui fait accomplir des choses extraordinaires quand tout est perdu et ça rend son DSBM très beau, paradoxalement. Indispensable !! Jordan Vauvert